A l’occasion des 10 ans de son parfum La Vie est Belle, Lancôme a noué un partenariat avec l’école d’art et de création parisienne Penninghen pour imaginer une édition plus responsable de la sa célèbre fragrance. Le fruit de cette collaboration entre une poignée d’étudiants et Thomas Lenthal, directeur artistique de la marque et ancien élève de l’école, se nomme L’Eveil : un flacon rechargeable allégé en verre, orné d’un nuage réalisé en tissu organza recyclé fixé sur le bouchon.
Pendant cinq jours, vingt-six étudiants de cinquième année en direction artistique ont ainsi réfléchi à des pistes créatives capables de répondre aux attentes d’engagements environnementaux vis-à-vis de la marque tout en conservant les valeurs optimistes et positives associées à La Vie Est Belle depuis son lancement. Vingt-deux axes ont été développés et compilés dans un scrapbook relié et remis aux équipes de Lancôme, cinq ont été retenus par un jury, puis soumis à un panel de plus de 3 000 acheteuses fidèles de La Vie Est Belle réparties dans 6 pays différents. Le projet d’Hélène Hildebrandt a été nommé lauréat de ce partenariat pour sa capacité à conjuguer création artistique et écoresponsabilité. Telle une signature créative, le logo Penninghen apparaîtra à chaque ouverture de l’écrin du parfum L’Éveil, désormais commercialisé à travers le monde en série limitée.
Pourquoi les marques engagées à réduire leur empreinte environnementale ne sollicitent-elles pas davantage les étudiants, dignes représentants d’une Gen Z désireuse d’agir pour sauver la planète et porteuse de notre futur ? Une marque qui se veut durable doit aussi tisser des liens durables avec ceux qui assureront sa pérennité. Gage de buzz sur les réseaux sociaux, signe de proximité avec les nouvelles générations, affirmation de sa conscience verte et, aussi, opportunité de récupérer au passage de nouveaux insights produits par de nouveaux regards portés sur son produit : les avantages d’une telle collaboration ne manquent pourtant pas.
